Achats

*Belle journée qui s'annonce* songea la jeune femme en parcourant les rues en direction des commerces. Plutôt de bonne humeur, Eris vagabondait, n'etant pas pressée. Arrivant enfin dans le quartier, le jeune femme se mit à observer plusieurs commerces, le sourire aux lèvres.
"Oooooh" laissa-t-elle echapper en remarquant quelque chose d'assez surprenant et interessant. Se retournant brusquemment, comme attirée par cet objet, elle percuta de plein fouet une personne, et sans douceur. Eris tituba en arrière, se rattrapant à une caisse disposée près d'un commerce. Le commercant lui fit d'ailleurs de gros yeux, et la jeune femme repliqua par un mince sourire d'excuse. Reportant son attention sur l'incoonnu, elle declara alors :
"Excusez-moi, je n'ai pas fait attention..."

"J'vais vous apprendre les bonnes manière moi !" s'exclama alors l'inconnu.
L'homme aux allures agressives prit la jeune femme par le bras, commencant à la secouer. Eris ne voulait pas utiliser sa magie pour le moment, tentant de se detacher de l'emprise de l'homme.
"Lachez-moi... Je vous aurait prevenue..." fit-elle entre deux secousses.
Constatant qu'il ne voulait pas la lacher, la jeune femme plaqua la pomme de sa main sur le front de l'homme, et une lueur blanche jaillt alors. L'inconnu recula alors de quelques pas, lachant la jeune femme qui recula à son tour. Les gens et les marchands les observaient, et leur regard se portèrent sur l'inconnu, qui semblait ne pas avoir apprecié.
"T'vas avoir une bonne correction...."

Débouchant d'un quartier il remarque que tous les passant et les commerçant ont les yeux rivé vers un homme et une ravissante jeune femme.
Il s'informe de la situation. Certaines personnes parlent de magie, d'autre de sorcellerie.
Avant d'envisagerd'intervenir, il examine minutieusement la situation.

"Osez seulement me toucher..." commenca la jeune femme, mais elle ne put finir.
L'homme la frappa au visage, et sous le choc, elle recula de quelques pas. Passant sa main sur sa joue douloureuse, elle ferma les yeux quelques instants... *Trop c'est trop... Ma patience a des limites...* Relevant les yeux vers l'homme, elle tendit le bras, paume tendue. Un jet d elumière blanche jaillit pour venir frapper l'homme, qui recula à son tour, avant de tomber inconscient sur le sol. Voyant la foule s'agiter autour d'elle, Eris tenta de la calmer.
"Ne vous en faite pas, une bonne sieste ne peut que lui faire du bien...."
La jeune femme l'avait juste endormit, ce qui suffisait amplement.

Sidus ne pouvait plus attendre. Il devait en tant que chef des armés montrer l'exemple à tous ces gardes cachés dans la foule démunit de tous courage. Il empoigne l'épée d'un garde à sa gauche et marche avec prudence vers la jeune femme et l'homme à terre qui ne bouge plus.
Il fait signe à un garde qui s'avance un peu avec hésitation:
Portez cette homme chez un médecin et ramenez le ensuite devant moi

Mademoiselle je vous périrai de me suivre...

"Vous suivre ? Oh, mais avec joie, j'ai quelques mots à dire sur la sécurité de cette ville..."
Eris n'etait pas d'un naturel resistante et mechante, c'est pourquoi, elle ne s'oppeserait pas à l'ordre de paix de cette ville.

Je vous prierai également de me parler sur un autre ton..
Il lui prend le bras à l'aide de sa main gauche et la fait avancer.

"Sachez, messire, que mon ton n'a rien d'agressif, mais qu'il est emplit de reproches. Si vous saviez le contexte de cette histoire, vous ne serez pas à me faire avancer, presque en m'humiliant, comme vous le faite à présent."
La jeune femme se laissa faire, ses yeux se plissant legerement. Elle avait horreur d'être considerée comme une bête de foire aux yeux des autres personnes.
"Sachez aussi que si je le voulais, j'aurais très bien me debarasser de vous, non pas en vous tuant, mais en vous neutralisant temporerement, alors estimez-vous heureux que votre réputation soit encore intacte pour le moment, car lorsque vous connaitrez mon identité, elle risque de flanchir..."
Eris tourna la tête sur le côté, observant les pavés sous ses pas... Heuresement qu'elle etait importante, et s'etait faite connue il y a un an déjà comme une mage blanche importante au sein de la société, car sinon, elle serait actuellement dans une impasse vu la capacité de reflechir de l'homme qui la tenait actuellement par le bras...

Il s'arrête après les paroles de la jeune femme:
Sachez que si je n'avais rien fait la foule serai peut-être en train de dresser un bucher en votre honneur. Et nous savons tout deux, je l'espère, que rien n'arrête une foule.
Il regarde la jeune femme et reprend:
Dans leurs yeux, on peut lire l'envie de justice. C'est donc pour satisfaire la foule que je vous traine de la sorte et ainsi éviter de provoquer le désordre le plus complet. Je vous demande de m'en excuser..

Une fois sortit de la place publique, où les habituels bruits matinaux semblent revenir, il libère Eris de sa main.

"La justice à été mal faite dans ce cas, votre jugement à été mal dirigé. Je ne suis pas la fautive, cependant, puisque les gens semblent si immatures, vos excuses sont acceptées."
Son poignet enfin libre, Eris s'arreta de marcher, observant le jeune soldat.
"Et maintenant, dois-je quitter la ville pour attendre que les esprits s'apaisent ?"

Je ne vous ait point accusé. J'ai comme proget de rédiger votre témoignage ainsi que celui de l'homme afin de prendre une décision sur votre sort et celui du marchand.

Je vous améne en ce moment même aux complexes militéres où un soldat prendra votre témonage.
Vous pourrez ensuite regagner les quartiers non sans prudence. Je vous conseille au contraire de ne pas quitter la ville avant ma décision...

Il l'invite à avancer..

"Et bien... Je resterais donc en ville tant que votre reponse ne me sera point portée." repondit la jeune femme.
Eris accepta son invitation à avancer, avec un leger sourire sincère. Peut-etre avait-elle eté trop froide avec ce jeune homme...

Voilà qui est une décision avisée!
Tous en guidant la jeune femme, il regarde les façades des maisons qui goutent un peu plus à chaque instant aux rayons du soleil et qui se dessinent sur les parterres fréquentés par quelques gamins des rues.
Un peu plus loin un homme fait l'aumône. Sidus sort de sa poche une petite pièce qu'il lui lance. L'homme souris et s'indigne ensuite à la vue de ces signes hiérarchiques.
Sidus détourne le regard et s'adresse à Eris:
Nous sommes presque arrivés..

"Très bien...." repondit simplement la jeune femme.
Marchant et fixant des yeux les pavés sous ses pas, Eris releva les yeux vers le ciel, pour reprendre avec un fin sourire.
"Etes-vous soldat depuis longtemps ?"

Il regarde la jeune femme un peu surprit qu'elle n'est pas vut ses signes hiérarchiques
A vrai dire je ne suis pas soldat..
Il marque une pause et Il reprend ensuite:
j'y ait été bien sur durant 6 années. Déformés je suis chef des armés de ce royaume. Troisième personne la plus importantes de Centro. Je suis reconnut aussi en tant que écrivain à Atile, capitale des Elfes de la Lune.

"Ecrivain n'est-ce pas ?"
Eris fut surprise de ce talent caché... Ecrire pour des elfes en plus, eux qui ont un sens pointu de l'art...
"Et qu'ecrivez-vous, messire le chef des armés ?"

Sidus content de voir qu'on s'intéresse à lui répond avec joie à la jeune femme:
Rien en particulier! Je vais de la simple transcription d'histoire oral aux essaies et à des textes portant principalement sur la stratégie militaire.
il arrête de parler et reprend:
Et vous! que faites vous dans votre vie?

"Moi ? Oh..."
Eris continua de marcher, semblant songeuse. Soupirant enfin, elle finit par repondre à son interlocuteur.
"Et bien, je pratique la magie blanche avec soin, mon but n'etant pas de detruire nos terres mais de les faire prosperer, voilà..."

Sidus s'aprétait à répondre lorsqu'un soldat déboula d'une ruelle:
Mesire, le roi vous attend dans les plus befs délais...
Sidus était un peu surpris d'être convoquer à une heure pareil:
Les décisions du roi ne se discutent pas! je vous laisse... Quand à toi! tache de recueillir le témoignage de cette dame...
Se ne sera pas la peine! le roi vous expliquera...
Sidus quitte alors la ruelle pour gagner le chateau.
Le soldat quand à lui attrappe brusquement Eris et la plaque contre un mur...

La jeune femme retint un hocquetement de surprise lorsque le soldat la plaqua contre un mur avec force, lui plaquant egalement une main sur la bouche afin qu'elle ne puisse hurler. Rapidement, il la retourna, la plaquant de face contre le mur. Il lui lia les poignets avec une corde. Durant ces quelques secondes, Eris se mit à reflechir, sauf qu'elle ne savait pas trop quoi faire... Elle s'etait déjà servit de sa magie pour neutraliser un marchand, alors un soldat...

Le soldat avait le sourire aux lèvres et s'adressa à Eris d'un ère mépris:
Chère sorcière votre vie ne tient qu'un un fil!
Il suffirai que je vous tranche la gorge.. Mais vous ne gouterai pas à la douleur que vous méritez..
Derrière le soldats quelques volets de la ruelle se ferment rapidement..

"Hmmm !"
Ce fut le seul son qui put sortir d'Eris etant donné qu'elle avait les mains liées et que l'homme la reduisait au silence par sa propre main.
En ayant reellement assez, la jeune femme le mordit avec force. Le soldat recula de quelques pas, surpris par la douleur. Eris se mit alors à courir du mieux qu'elle pouvait, sa robe ne l'aidant en rien...

Observant un homme depuis quelques instants, l'assassin perçut non loin des pas résonnant sur les pavés, traduisant une course effrenée qui se tramait dans les ruelles à quelques mètres derrière lui. N'étant le seul à percevoir ce tumult hélas, Femesch aperçut quelques badauds demeurer silencieux et immobiles, semblant également entendre le boucan provenant des rues. Sa proie semblant déjà alertée par la possible présence d'un meurtrier, l'assassin, craignant que l'attention de celle-ci n'en vienne à se porter sur lui et faire apparaître sa véritable nature, s'esquiva doucement, empruntant les ruelles d'où provenait le tumult, afin de l'apaiser si cela lui était possible.
*C'est quoi encore, ça?*

La jeune femme trebucha sur un pavé et tomba à terre. Elle gesticulait sur le sol, tentant de se liberer les poignets, le soldat arrivant à sa poursuite au pas de course. *Vite, vite...* Mais la corde etait bien trop sérrée... S'asseyant au sol, elle tenta de garder son calme, fermant les yeux pour mieux se concentrer sur la corde.

Quelques pas à travers les ruelles suffirent pour permettre à l'assassin de distinguer une créature se tenant assise sur le sol, après qu'il eut entendu un violent fracas sur les pavés. A mesure qu'il s'avançait, le spadassin distingua rapidement un homme vêtu d'une armure aux armoiries signifiant son appartenance au corps d'armée du royaume, et menaçant la créature qui gisait au sol. S'approchant davantage, se saisissant furtivement de trois fins et courts couteaux de lancer de la main qu'il fit passer dans son dos, Femesch laissa échapper quelques mots, afin d'interrompre les actions de ce milicien, quelles qu'elles soient.
"Qu'est-ce que tu fais, sentinelle? Tu poursuis les pucelles dans les rues?"