Sidus arriva enfin au pied du château qui se dressait devant lui. A peine rentré il put remarquer l'affolement qui s'y déroulait. Les femmes allaient de droite à gauche et de gauche à droite charchant un lieu ou se disimuler. Les hommes cherchaient inlasablement l'assassint qui sembalit être partit depuis un bon moment. Les bêtes dans cette agitation étaientt affollées. Seul les moines étaient calmes et immobiles au centre de la cours dans une priére qui ne se terminait pas.